Shoya se retrouve embarqué dans une sortie au parc d'attractions, qu'il commence à apprécier malgré la présence de Miki et de Naoka. Mais les choses dérapent lorsqu'il reconnaît Kazuki, son ancien ami d'enfance, à l'un des stands... Quelques jours plus tard, un triste événement vient frapper les Nishimiya : le décès de la grand-mère de Shoko, véritable pilier de la famille. Alors que tout le monde tente de remonter le moral à Yuzuru, celle-ci décide d'aider sa soeur à faire sa déclaration.
De son côté, Shoya accepte de participer au tournage du film de Tomohiro, à condition que la jeune malentendante fasse partie de l'aventure ! Un manga pas comme les autres, qui réussit avec brio à parler de handicap de manière juste et touchante !
Rattrapé par son passé après une conversation avec Satoshi. Shoya voit son pire cauchemar se réaliser : ses nouveaux amis sont maintenant au courant de ce qu'il a fait en primaire, et la situation dégénère.
Même si son monde s'est écroulé, l'adolescent essaie de faire comme si tout allait bien, mais Shoko n'est pas dupe. Persuadée que tout est de sa faute, la jeune fille tente alors de mettre fin à ses jours en se jetant dans le vide sous les yeux de Shoya !
Un manga pas comme les autres, qui réussit avec brio à parler de handicap de manière juste et touchante!
Shoko Nishimiya est sourde depuis la naissance. Même équipée d'un appareil auditif, elle peine à saisir les conversations, à comprendre ce qui se passe autour d'elle. Effrayé par ce handicap, son père a fini par l'abandonner, laissant sa mère l'élever seule.
Quand Shoko est transférée dans une nouvelle école, elle fait de son mieux pour dépasser ce handicap, mais malgré ses efforts pour s'intégrer dans ce nouvel environnement, rien n'y fait : les persécutions se multiplient, menées par Shoya Ishida, le leader de la classe.
Tour à tour intrigué, fasciné, puis finalement exaspéré par cette jeune fille qui ne sait pas communiquer avec sa voix,
Shoya décide de consacrer toute son énergie à lui rendre la vie impossible.
Tour à tour psychologiques puis physiques, les agressions du jeune garçon se font de plus en plus violentes... jusqu'au jour où la brimade de trop provoque une plainte de la famille de Shoko, ainsi que l'intervention du directeur de l'école.
Ce jour-là, tout bascule pour Shoya : ses camarades, qui jusqu'ici ne manquaient pas eux non plus une occasion de tourmenter la jeune fille, vont se retourner contre lui et le désigner comme seul responsable...
Pour Shoya, devenu le nouveau souffre-douleur de sa classe, rien ne change après le départ de Shoko. Pire, le jeune garçon se rend compte qu'elle faisait preuve de gentillesse à son égard et se sent d'autant plus coupable !
Mis à l'écart pendant toute sa scolarité, il ne parvient plus à se lier aux autres. Il se coupe du monde et finit par perdre toute envie de vivre. Mais l'adolescent n'a jamais oublié la jeune sourde.
Il prend donc la résolution de la retrouver pour lui présenter ses excuses avant de mettre fin à ses jours...
Cinq ans après leur dernière rencontre, Shoya parvient à retrouver Shoko. A sa grande surprise, la jeune fille accepte de lui parler et ne semble pas lui en vouloir ! Les deux adolescents commencent à se rapprocher peu à peu, tandis que dans le même temps Shoya se lie d'amitié avec un garçon de sa classe, Tomohiro. Déterminé à changer pour rendre à Shoko le bonheur qu'il lui a volé, le lycéen décide d'affronter son passé en reprenant contact avec d'anciennes camarades de classe...
Shoya se retrouve embarqué dans une sortie au parc d'attractions, qu'il commence à apprécier malgré la présence de Miki et de Naoka. Mais les choses dérapent lorsqu'il reconnaît Kazuki, son ancien ami d'enfance, à l'un des stands… Quelques jours plus tard, un triste événement vient frapper les Nishimiya : le décès de la grand-mère de Shoko, véritable pilier de la famille. Alors que tout le monde tente de remonter le moral à Yuzuru, celle-ci décide d'aider sa sœur à faire sa déclaration.
De son côté, Shoya accepte de participer au tournage du film de Tomohiro… à condition que la jeune malentendante fasse partie de l'aventure !
"Les élèves sont-ils heureux à l'école ? Et les enseignants ? Et l'ensemble des personnels ? Ces questions, longtemps, n'ont pas été posées. L'école prépare en effet le bonheur public de demain, en apprenant aux futurs citoyens l'obéissance aux règles et le sens de l'effort, mais que fait-il du bonheur de l'instant ? Aujourd'hui, ces questions émergent. L'ouvrage vise à éclairer cette transformation sous l'angle du bonheur d'apprendre, d'enseigner et d'éduquer.
Or, les textes officiels répugnent toujours à évoquer le bonheur, tant, au départ, cette notion semble éloignée des valeurs d'effort, de travail, de discipline, de classement entre bons et mauvais élèves portées par notre modèle scolaire. L'ouvrage éclairera les enjeux vitaux de ce qu'on appelle " climat scolaire ", " école bienveillante et exigeante ", " lutte contre les violences et le harcèlement ", " école inclusive ".
Mettant en lumière les contradictions entre une architecture de l'institution scolaire héritière de cloisonnements et de hiérarchies multiples et les aspirations d'aujourd'hui à renforcer le bonheur d'apprendre, d'enseigner, d'éduquer, il prendra le parti d'une transformation profonde, consciente, de notre modèle politique d'éducation."
"La violence entre élèves a une longue histoire. Elle se poursuit dorénavant hors de l'école par le biais des smartphones et des médias sociaux. Insultes, moqueries, usurpation d'identité, happy slapping, photos truquées, revenge porn, les manifestations de la cyberviolence et du cyberharcèlement sont nombreuses et leurs conséquences sont souvent dramatiques pour les victimes.
Tout l'environnement scolaire est impacté, y compris les harceleurs, les suiveurs et l'ambiance collective.
Le (cyber)harcèlement se développe aussi à l'université, dans le monde du travail et dans le (cyber)espace public. La lutte contre ces phénomènes passe par l'éducation : à l'empathie, aux médias et à l'information, à l'intelligence des traces et à l'esprit critique. L'usage que les adolescents font du web est riche et varié et bien loin de se résumer à ces actes malveillants. Puiser dans leurs compétences et leurs goûts numériques et parler de leurs usages pourrait permettre de sortir de la violence, à l'école et sur les écrans."
La violence scolaire n'est pas un phénomène nouveau mais la mobilisation contre ce phénomène, tant au niveau national qu'international, est à son apogée. Ce dossier se propose de dresser un bilan sur les nombreuses dimensions que ce sujet interroge et se propose d'éclairer les "différentes facettes de la nébuleuse violence à l'école".
Ce dossier s'ouvre sur les premiers résultats d'une vaste enquête menée, avec le concours technique de la DEPP, sur 157 écoles dans huit académies, afin de "mettre en lumière l'expérience victimaire d'enfants d'écoles primaires".
Les autres articles sont consacrés aux moyens à mettre en place aussi bien pour limiter cette violence au sein des établissements que les formations à mettre en place pour préparer le corps enseignant à gérer toutes formes de violence. Enfin un article étudie les nouvelles formes de violence, liées aux nouvelles technologies, comme la "cyberviolence" ou le "cyberharcèlement".