Au quotidien : peut-on mieux dire pour formuler le principe fondateur d’une pédagogie novatrice et pleinement assumée de la poésie à l’école ? Qu’est-ce que la poésie ? Quelle place le langage poétique peut-il tenir dans la didactique du français ? Comment mettre en voix, mettre en scène la poésie ? De quelle façon inviter à l’écriture poétique ? Comment engager des projets autour de la poésie ?
La poésie au quotidien est une entrée privilégiée pour partager et découvrir la langue, pour cultiver l’intelligence sensible et faire en sorte qu’elle ne soit pas un ornement mais un instrument de savoirs.
Coordonné par Jean-Pierre Siméon, cet ouvrage collectif expose les grands enjeux d’une pratique pédagogique au quotidien de la poésie. Il propose aussi de nombreuses activités de classe pour inviter les professeurs des écoles maternelles et élémentaires à entrer en poésie…
Conçu en partenariat avec Le Printemps des Poètes et son label « École en Poésie », réalisé avec l’OCCE, il présente enfin des expériences variées de projets « poésie ».
Une ressource incontournable pour placer la poésie au cœur de la connaissance et de l’école.
Crise ou perte de l'autorité : le thème est à la mode et largement médiatisé. Dans les établissements scolaires, il cristallise attente des parents, angoisse des jeunes enseignants, stratégies de l'institution ...Il faut admettre que c'est une composante forte de la relation éducative.
A l'heure de la Refondation de l'école, il est donc essentiel de se saisir de cette question.
Pour sortir des clichés, Bruno Robbes a fait appel à un réseau de chercheurs et de praticiens engagés sur le terrain.
Les contributions rassemblées dans cet ouvrage, appuyées par son expérience de pédagogue, de formateur et d'universitaire constituent un extraordinaire réservoir d'idées et d'expériences.
Leur objectif commun : dissiper les malentendus et donner à chacun sa place dans l'édifice éducatif. Ni don de nature, ni apanage du maître, ni exercice de la force, ni résultat de recettes ...
'autorité éducative se construit dans l'interaction avec le groupe.
Ce livre offre des témoignages et propose des outils pour le faire. Il participe ainsi d'un projet plus vaste : bâtir le socle commun d'une école pour vivre ensemble.
L’enseignement de la géographie à l’école primaire présente un visage que l’on pourrait qualifier de paradoxal : d’un côté une discipline appréciée des élèves, de l’autre un enseignement difficile à mettre en œuvre par les professeurs des écoles.
Qui n’a pas été saisi par l’attirance des enfants pour les cartes, les photographies de paysages, les schémas … Les outils du géographe plaisent aux élèves dont la curiosité trouve, au sein de cette discipline, une voie d’épanouissement.
Les enseignants sont quant à eux confrontés à de multiples interrogations pouvant se résumer en une question apparemment anodine mais en fait des plus complexes : quelle géographie enseigner à l’école primaire ?
Le présent ouvrage se place tout d’abord dans le cadre des instructions officielles qui assignent comme objectif premier à cette discipline « de décrire et de comprendre comment les hommes vivent et aménagent leurs territoires » (B.O. 2008).
Cette définition de la géographie scolaire n’est pas nouvelle ; depuis une bonne vingtaine d’années, ce champ disciplinaire se définit d’abord et avant tout à partir de l’action de l’homme sur l’espace en intégrant cette notion essentielle qu’est l’échelle.
C’est dans ce cadre didactique que l’enseignant va trouver le juste équilibre entre la transmission des connaissances nécessaires (pour localiser, nommer, identifier...) et la mise en activité des élèves à partir de supports idoines : plans, cartes, photographies, vidéos, documents statistiques…
Le présent ouvrage s’inscrit dans cette approche – ambitieuse – visant l’acquisition des premiers savoirs géographiques associés à des capacités propres à la discipline : lire une carte, un paysage, un document statistique ; réaliser un schéma, une carte.
Les différents auteurs ont cherché à associer à la fois des démarches et des supports les plus variés possibles afin qu’un panel le plus large de possibilités pédagogiques soit offert aux enseignants. Au fil des 50 activités, les élèves seront confrontés à des activités de recherche à partir de documents tels que des photographies de paysage, des cartes – pour certaines interactives – des vidéos, parfois des sorties, tant il est vrai que la géographie se pratique aussi « avec les pieds ».
Au seuil d’un siècle où l’information, aussi abondante qu’éphémère, nécessite des clés intellectuelles solides pour distinguer l’accessoire de l’essentiel, nous formulons le vœu que cet ouvrage participe à rendre le monde plus accessible pour nos élèves et qu’à travers cet apprentissage de la vie en société qu’est la géographie, il fasse d’eux de futurs citoyens éclairés.
Ghostie permet aux enseignants du cycle 2 de l’école primaire de programmer et mettre en œuvre toute la première année d’apprentissage de l’anglais au CP (ou au CE1), en application des programmes et dans l’esprit du Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL), notamment en matière de communication orale, d’approche actionnelle et de repères culturels. Ses nombreuses ressources sonores et visuelles, faciles à mettre en œuvre, peuvent être utilisées dès la Grande Section pour une première sensibilisation à la langue. Ghostie se décline en deux outils d’enseignement : un livre du professeur et un DVD vidéo, conçus pour fonctionner en interaction. Le livre est organisé en dix séquences, elles-mêmes composées de quatre séances chacune dont une évaluation. Il offre un dispositif pédagogique original, fondé sur le jeu. [...]
Hamish offre aux enseignants du cycle 2 de l’école primaire la possibilité de programmer et de mettre en œuvre la deuxième année d’apprentissage de l’anglais au CE1, en application des programmes et dans l’esprit du Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL). Hamish approfondit les apprentissages initiés dans Ghostie tout en étant complètement indépendant. Hamish, un fantôme écossais, organise une grande soirée pour son anniversaire. Jim et Ghostie se préparent pour le voyage... Le livre du professeur est organisé en dix séquences, elles-mêmes composées de quatre séances chacune dont une évaluation. Il propose un dispositif pédagogique original, fondé sur le jeu. Les activités ludiques proposées : saynètes, chansons, chants... sont autant d’occasions de mettre en œuvre des activités langagières et d’acquérir structures, lexique, intonation... Enfin, au fil des séances et des tâches intermédiaires, se bâtit la tâche finale : une comédie musicale interprétée en anglais par tous les élèves de la classe pour la fête de l’école. Le DVD vidéo contient les dix animations-supports des séquences et les nombreuses ressources nécessaires au déroulement des séances (visuelles : flash cards, plateaux de jeux, fiches d’évaluation... et sonores : deux cent vingt fichiers audio MP3 qui pourront, en outre, être utilisés en baladodiffusion).
"Construire et exercer les compétences motrices des élèves de l’école maternelle, leur permettre de vivre, de s’approprier, de nommer et de représenter l’espace, sont les enjeux forts des parcours d’activités motrices. Ces apprentissages sont essentiels pour vivre, échanger et agir avec les autres.
Comment mener en équipe une réflexion approfondie et renouvelée sur les parcours d’activités motrices à l’école maternelle ?
L’ouvrage, coédité avec Asco & Celda, fait le point sur les enjeux de ces activités pour le développement de l’enfant.
Il offre une démarche progressive articulée autour de verbes d’actions de la petite à la grande section. Sur une année scolaire, cinq modules décrivent la mise en œuvre de séquences d’apprentissage (exploration et structuration des gestes moteurs, apprentissages langagiers et construction de l’espace). Dans chaque dominante motrice, des trames de variance (espace, temps, corps) proposent une progression des apprentissages d’une section à l’autre.
Plusieurs types de parcours sont illustrés pour accompagner les équipes pédagogiques dans la conception de parcours ciblés : structure, matériel et disposition du parcours d’une part, apprentissages moteurs et langagiers d’autre part. La démarche est fondée sur le travail d’équipe pour accompagner les progrès des élèves."
Des travaux tendent à montrer que l’apprentissage de la musique améliore la perception des syllabes chez les enfants normolecteurs et dyslexiques. Mais la raison d’être de la musique n’est pas seulement d’ordre médical ou didactique (au service de l’apprentissage de la lecture par exemple). L’apprentissage musical au sein de l’école, dès le plus jeune âge, est une réponse au développement de l’individu.
L’ensemble de ces 50 activités permet à l’élève de faire évoluer son propre rapport à l’œuvre musicale qui peut être fondé, dès les premières écoutes, sur le plaisir, l’étonnement, la tristesse, la joie, la curiosité, la répulsion, voire la peur dans certains cas. Au-delà de ce premier contact sensible, émotionnel, l’élève, avec l’aide de l’enseignant, apprend à verbaliser et à justifier avec des termes de plus en plus précis le lien entre ce qu’il ressent et le matériau musical qu’il identifie. Son rapport aux œuvres, de fait, se modifie : de l’expérience sensible et des savoir-faire qu’il aura développés (chanter à une ou plusieurs voix de manière contrôlée et pas seulement par automatisme), il élaborera des connaissances dites « déclaratives » (il saura parler de plus en plus de la musique qu’il entend).
L’ouvrage est structuré en six parties, certaines mettent davantage l’accent sur le travail vocal et d’autres sur celui d’écoute, faisant alterner les grands objectifs et démarches de l’éducation musicale. Les choix qui sont faits mettent en valeur l’ensemble des grandes catégories d’esthétiques musicales sans négliger les œuvres qui seraient les plus proches des élèves.
Le principe de l’ouvrage n’exige ni une lecture linéaire ni un ordre obligé, si ce n’est que la première partie serait le préalable à une mise en voix progressive, à l’éveil d’une disponibilité des différents organes sensoriels.
"Comment enseigner la littérature et faire découvrir le plaisir de la lecture aux élèves du cours moyen à la 6e ? Avec quels ouvrages et selon quelles démarches ?
Un groupe d’enseignants du premier degré et un enseignant-chercheur en langue et littérature française ont réuni leurs compétences et expériences pour répondre à ces interrogations.
Cet ouvrage s’appuie sur des œuvres littéraires tirées de genres et d’univers variés : albums de jeunesse, contes, récits d’aventures ou de science-fiction, œuvres patrimoniales ou contemporaines. Conçu pour fournir des apports théoriques et didactiques aux enseignants de cycle 3 :
Il analyse, dans sa première partie, les compétences nécessaires à la compréhension des textes narratifs (compétences de décodage, compétences linguistiques, référentielles, textuelles, stratégiques). Il rappelle également quelques grands principes didactiques au service d’un enseignement-apprentissage explicite et stratégique de la compréhension en lecture.
Il propose, dans la seconde partie, des séquences expérimentées et validées par les auteurs dans leurs classes à partir de textes narratifs variés et tenant compte de l’hétérogénéité des élèves. Ces outils sont directement transférables en classe. "
L'évaluation, plus juste et plus efficace : comment faire ? propose de regarder d’un œil neuf les pratiques d’évaluation les plus courantes dans l’enseignement en France, la circulaire de rentrée 2014 s'est montrée claire à ce sujet : « Il importe de faire évoluer les pratiques en matière d'évaluation des élèves. », et cet ouvrage se veut être l'un des outils incontournables pour y parvenir.
Comment évaluer les élèves sans les noter ? Quels paramètres prendre alors en compte pour l'évaluation des compétences ?
Pour répondre à ces questions le livre s'interroge sur les paramètres de l’évaluation (ses formes et fonctions) qui font partie des choix que chaque enseignant va devoir opérer. Il oriente la réflexion en observant ce qui se fait déjà dans les établissements (notamment des collèges) où les équipes pédagogiques ont pris à-bras-le-corps la question de l’évaluation.
L'évaluation, plus juste et plus efficace : comment faire ? aborde le sujet sous un angle pluridisciplinaire en s'attardant sur ce qui peut être fait dans toutes les matières, celles dites académiques comme les autres, et notamment en éducation physique et sportive.
L'état des lieux et la réflexion ne seraient pas complets sans une certaine ouverture : sans y chercher de modèle à imiter, l'ouvrage s'intéresse de près à ce qui se passe ailleurs, là où les débats sont vifs aussi, comme en Suisse romande, au Québec, en Nouvelle-Zélande, ou encore en Europe du Nord.
Sommaire
État des lieux : peut mieux faire
Les formes et fonctions de l’évaluation
Dans les établissements, ça bouge !
Des pratiques disciplinaires différentes
Et ailleurs : de vifs débats aussi…
Le présent ouvrage se donne pour objectif premier d’aider les enseignants à mettre en place des enseignements de langue dès le cours préparatoire en raison de la récente extension des apprentissages de langues vivantes au cycle 2.
Le public visé, celui des enfants de cycle 2 (CP, CE1) présente la caractéristique de commencer l’apprentissage du code écrit en langue de scolarisation.
Ce « 50 activités en anglais » tient compte des apports du Cadre européen commun de référence pour les langues en faisant sienne la notion de projet fédérateur. En effet, l’idée centrale est qu’un apprentissage (langagier dans le cas présent) tire sa justification de ce qu’il permet de mener à bien un projet pragmatique (parvenir à faire quelque chose, à agir sur quelqu’un dans le but de…). Ainsi, le contenu de l’ouvrage est constitué de modules conçus comme une combinaison de tâches graduées et complémentaires aboutissant à la réalisation d’un scénario dans lequel l’élève sera acteur. Bien entendu, la prise en compte de cette dimension sera très progressive car il s’adresse à de véritables débutants disposant d’un bagage linguistique inexistant au départ et limité par la suite.
Une dernière dimension non négligeable caractérisera également cet ouvrage. Elle concerne la maîtrise de la langue et la mise en relation de deux piliers du Socle commun : celui relevant de la maîtrise de la langue de scolarisation et celui relevant de la maîtrise d’une langue étrangère.
L’ouvrage accorde, par ailleurs, une part importante aux évaluations.
L’aspect visuel (illustrations, photographies, icônes) y est prépondérant tant pour ce qui concerne la clarification des consignes que pour la mise en situation. Nombreuses et variées sont également les sources sonores. De ce point de vue, la multiplicité de ces sources et leur facilité d’accès (CD audio et site compagnon pour le téléchargement des fiches de travail) économiseront un précieux temps de recherche aux utilisateurs.